Église avec jolie collection mise en valeur heureusement car c est helas à part la vue ce qui reste de ma journée à visiter 1 place de parking handicapé ombragée et impossible fauteuil sans aide
Didier lgt2 il y a des années
Visiter en 2016 très belle église et son village bien agréable et surtout il y a les cascades de gimel
EGLANTINE2 il y a des années
Quelle belle petite église dans ce bourg...
Charles-Hubert PERRE2 il y a des années
Très belle église romane avec deux peintures romanes.
Bernard Bernard2 il y a des années
Très belle église avec un plafond très particulier. Une belle découverte.
Marie Agathe De Magalhaes2 il y a des années
Église magnifique, à voir absolument
Furo Semide2 il y a des années
Magnifique église avec un clocher qui permet de voir les cloches sonner !!!
Francisco Javier Perez Rodriguez2 il y a des années
(Traduit par Google) Paroisse du beau village de Gimel-les-Cascades, l'église actuelle de Saint-Pardoux date de la fin du XV siècle, et après son extérieur austère, elle réserve de belles surprises à l'intérieur. Dès l'entrée, la largeur de la nef est saisissante, et plus encore les peintures de la fin du Moyen Âge dans l'abside, dont la chronologie est contestée, même s'il est admis que celle de gauche est plus ancienne. Elle représente Saint Antoine l'Abbé –avec son bâton surmonté de tau et les animaux dont il est le patron–, peint sur un autre saint évêque au côté duquel on voit le donateur prier. A sa droite, la Trinité. A droite, l'Annonciation est contemplée par le clerc donateur, vêtu de hauts vêtements et protégé par l'évêque Saint Pardoux, chef du temple, et accompagné d'une figure féminine derrière lui. Derrière eux, un chevalier armé avec ses armoiries. Plus important encore est le trésor de cette église paroissiale apparemment humble, dans laquelle se détache un reliquaire en émail de Limoges de la seconde moitié du XIIe siècle. Elle devait conserver une relique de saint Étienne, puisque sur le côté qui est exposé au public des scènes de la vie du saint sont représentées, notamment son martyre, lapidé, dans la partie supérieure. On y trouve également un médaillon en émail de Limoges, contemporain du reliquaire, et une custode – boîte à conserver les hosties consacrées – un peu plus tardive.
(Avis d'origine) Parroquial del hermoso pueblo de Gimel-les-Cascades, la actual iglesia de Saint-Pardoux data de finales del siglo XV, y tras su austero exterior, alberga grandes sorpresas en su interior. Al entrar llama la atención la amplitud de la nave, y más todavía las pinturas bajomedievales del ábside, cuya cronología se discute, aunque se admite que es más antigua la de la izquierda. En ella se representa a san Antonio Abad –con su báculo rematado en tau y los animales de los que es patrono–, pintado sobre otro santo obispo a cuyo lado se distingue al donante orando. A su derecha , la Trinidad. En el lado derecho, la Anunciación es contemplada por el clérigo donante, revestido de vestiduras talares y protegido por San Pardoux obispo, titular del templo, y acompañado de una figura femenina a su espalda. Tras ellos un caballero armado con su blasón. Más importante aún es el tesoro de ésta aparentemente humilde iglesia parroquial, en el que destaca un relicario de esmalte de Limoges de la segunda mitad del siglo XII. Debía conservar una reliquia de san Esteban, pues en el lado que se exhibe al público se representan escenas de la vida del santo, notoriamente su martirio, apedreado, en la parte superior. De esmalte de Limoges son también un medallón, contemporáneo del relicario, y una píxide –caja para guardar las hostias consagradas– algo posterior.
Dès l'entrée, la largeur de la nef est saisissante, et plus encore les peintures de la fin du Moyen Âge dans l'abside, dont la chronologie est contestée, même s'il est admis que celle de gauche est plus ancienne. Elle représente Saint Antoine l'Abbé –avec son bâton surmonté de tau et les animaux dont il est le patron–, peint sur un autre saint évêque au côté duquel on voit le donateur prier. A sa droite, la Trinité.
A droite, l'Annonciation est contemplée par le clerc donateur, vêtu de hauts vêtements et protégé par l'évêque Saint Pardoux, chef du temple, et accompagné d'une figure féminine derrière lui. Derrière eux, un chevalier armé avec ses armoiries.
Plus important encore est le trésor de cette église paroissiale apparemment humble, dans laquelle se détache un reliquaire en émail de Limoges de la seconde moitié du XIIe siècle. Elle devait conserver une relique de saint Étienne, puisque sur le côté qui est exposé au public des scènes de la vie du saint sont représentées, notamment son martyre, lapidé, dans la partie supérieure.
On y trouve également un médaillon en émail de Limoges, contemporain du reliquaire, et une custode – boîte à conserver les hosties consacrées – un peu plus tardive.
(Avis d'origine)
Parroquial del hermoso pueblo de Gimel-les-Cascades, la actual iglesia de Saint-Pardoux data de finales del siglo XV, y tras su austero exterior, alberga grandes sorpresas en su interior.
Al entrar llama la atención la amplitud de la nave, y más todavía las pinturas bajomedievales del ábside, cuya cronología se discute, aunque se admite que es más antigua la de la izquierda. En ella se representa a san Antonio Abad –con su báculo rematado en tau y los animales de los que es patrono–, pintado sobre otro santo obispo a cuyo lado se distingue al donante orando. A su derecha , la Trinidad.
En el lado derecho, la Anunciación es contemplada por el clérigo donante, revestido de vestiduras talares y protegido por San Pardoux obispo, titular del templo, y acompañado de una figura femenina a su espalda. Tras ellos un caballero armado con su blasón.
Más importante aún es el tesoro de ésta aparentemente humilde iglesia parroquial, en el que destaca un relicario de esmalte de Limoges de la segunda mitad del siglo XII. Debía conservar una reliquia de san Esteban, pues en el lado que se exhibe al público se representan escenas de la vida del santo, notoriamente su martirio, apedreado, en la parte superior.
De esmalte de Limoges son también un medallón, contemporáneo del relicario, y una píxide –caja para guardar las hostias consagradas– algo posterior.