Une église du 20ème qui remplaça l'église romane brûlée par les colonnes infernales. Une église romane, sans doute du 12ème siècle, occupa cet endroit. Restaurée en 1736, elle semblait avoir un avenir serein. Mais en 1794, un drame terrible frappa le village : le général Grignon, à la tête des colonnes infernales, incendia l'église Saint-Aubin, exterminant la population du village qui l'avait choisi comme refuge.
L'édifice fut plus ou moins restauré, l'activité cultuelle put reprendre dès 1802. Mais conséquemment à l'incendie, les dégradations inévitables imposèrent le projet d'une reconstruction. Cette dernière débuta en 1904, le projet était simple et classique, clocher-porche et plan en croix. Le style néo-roman fut adopté, arcs doubleaux et ouvertures en plein cintre, voûtes en berceau.
Le sanctuaire occupe une abside voûtée d'ogives, des arcatures au Nord et au Sud de la nef offrent une certaine élégance. Les vitraux sont des ateliers Lux Fournier de Tours, ils datent de 1904 et 1905. Ouverte et accueillante, cette église est un lieu parfait, quelque soit sa position dans les différents niveaux de croyances, pour se détendre, méditer ou prier.
Une église romane, sans doute du 12ème siècle, occupa cet endroit. Restaurée en 1736, elle semblait avoir un avenir serein. Mais en 1794, un drame terrible frappa le village : le général Grignon, à la tête des colonnes infernales, incendia l'église Saint-Aubin, exterminant la population du village qui l'avait choisi comme refuge.
L'édifice fut plus ou moins restauré, l'activité cultuelle put reprendre dès 1802. Mais conséquemment à l'incendie, les dégradations inévitables imposèrent le projet d'une reconstruction. Cette dernière débuta en 1904, le projet était simple et classique, clocher-porche et plan en croix. Le style néo-roman fut adopté, arcs doubleaux et ouvertures en plein cintre, voûtes en berceau.
Le sanctuaire occupe une abside voûtée d'ogives, des arcatures au Nord et au Sud de la nef offrent une certaine élégance. Les vitraux sont des ateliers Lux Fournier de Tours, ils datent de 1904 et 1905. Ouverte et accueillante, cette église est un lieu parfait, quelque soit sa position dans les différents niveaux de croyances, pour se détendre, méditer ou prier.