Banque Populaire Rives de Paris
110 Bd Saint-Germain, 75006 Paris
1.9
29 avis
8 Commentaires
V82R+QM Paris
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Lundi: Fermé
Mardi: 9–13
Mercredi: 9–13
Jeudi: 9–13
Vendredi: 9–13
Samedi: 9–13
Dimanche: Fermé
Mardi: 9–13
Mercredi: 9–13
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C’est sûrement la banque la plus cher de France puisqu en plus de prendre des frais lié à la tenue du compte et aux cartes de crédit mis à notre disposition ils prélèvent un pourcentage de chaque centime qui transite sur notre compte, même si il y a des mouvements internes entre plusieurs société d’un même groupe.
Banque à fuir !
Pour la N ème fois, j’arrive à l’agence et la porte ne s’ouvre pas pour que je puisse accéder et faire mes transactions, pourtant que l’espace est bien allumée ainsi que les distributeurs…
Le service client est injoignable…c’est très bizarre!!!!! Je pense qu’il faut prévenir l’équipe de l’agence à ne pas fermer la porte des distributeurs pour éviter les surprises !!!!!!!!
Effectivement, le service est très « populaire «
Inexistant !!! Ne placé pas votre argent dans cette banque, ils sont malhonnêtes , et je rejoins les commentaires avant moi , La palme de l’incompétence et de la suffisance revient quand même à MR FOUASSIER BENOIT, une version Kerviel « light » Made in China
J’ai clôturé mon compte après 2 mois chez eux
Une banque qui a des pratiques douteuses ( prélèvements de frais injustifiés,erreur de virements..)
Une banque qui n’a pas son pareil pour vous créer des complications quand tout est simple!
Conseillers incompétents , je déconseille cette banque aux entreprises et aux particuliers.
Je conseille N26 , BNP, et Societe généralement
Elle acquitte une amende de 200 000 euros.
En janvier 2013, la Banque populaire est condamnée par la Commission des sanctions de l'ACPR pour ses carences nombreuses affectant plusieurs aspects essentiels de la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme
. Elle est sanctionnée d'une amende de 500 000 euros.
En 2013, la Banque populaire est condamnée à indemniser un client auquel elle avait vendu des titres de sa filiale Natixis
En avril 2015, des audits approfondis sont conduits chez Natixis Asset Management, notamment de la part de l'Autorité des marchés financiers, à propos de « réserves » occultes qui auraient été constituées via l'épargne d'investisseurs dans des fonds à formule gérés par cette société filiale des Banques Populaires.
Selon Mediapart, près de 100 millions euros auraient été prélevés sur des fonds à formule, outre des anomalies dans leurs méthodes de gestion..
En 2017, l'excès de commissions prélevées par cette filiale de BPCE au détriment des clients des Banques populaires, et des Caisses d'épargne, fait l'objet d'une demande de sanction financière qualifiée de « record »
En juillet 2015, la trop grande proximité entre sphère publique et sphère privée s'illustre avec le procès d'un dirigeant de banque française, François Pérol. Ce dernier préside le directoire du groupe BPCE, qui détient l'enseigne Banque populaire. Son procès offre l'occasion de décrire « un système poreux entre sphère privée et sphère publique »selon les journalistes ou, plus substantiellement, de dénoncer la proximité malsaine entre les grands corps de l'État et les banques