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Clinique FSEF Sceaux - Dupré

30 Av. du Président Franklin Roosevelt, 92330 Sceaux

Clinique FSEF Sceaux - Dupré
Hôpital psychiatrique
2.6
32 avis
8 Commentaires
Indications de direction
Q8H2+45 Sceaux
01 40 91 50 50
fsef.net
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J
J2 il y a des années
À part la partie études qui est d’une grande aide car les professeurs sont géniaux et à l’écoute, je déconseille cette clinique à toutes personnes qui souhaiteraient y aller. Problèmes internes graves entre patients non gérés, personnel médical déplorable qui n’écoute ni vos problématiques ni votre avis sur vos soins. Vous êtes à leur ordre.
Clinique pourtant faites pour aider en grande partie pour aider les jeunes ayant des difficultés à se rendre en cours, les soignants adorent menacer de vous virer si vous n’y aller pas assez pour eux dans les premiers mois suivant votre admission.
Je le dis sincèrement, si la justice se penche un jour sur cette clinique, elle fermera. Si c’est votre dernière chance pour le bac, accrochez vous aux études seulement mais n’attendez rien du personnel soignant qui sont présents pour faire beau pour leur cv et avoir bonne conscience « d’aider » des jeunes en détresse psy.
Tlucius Didi
Tlucius Didi2 il y a des années
J'ai été admise à la clinique Dupré en décembre 2016 et je suis partie en février 2019. J'avais fais une demande d'admission avant les vacances d'été 2016. Je n'ai pus avoir un rendez-vous de post admission que fin octobre. Le docteur Balkan, "directeur" de l'hopital de jour à Dupré, a réussi à me faire perdre presque 2 mois, car il pensait que mes parents voulaient me mettre à Dupré sans mon consentement. Pour info, j'étais très timide à cette époque, et parler à un homme plus 3 femmes (2 soignantes et une stagiaire) alors que j'étais seule face à eux, ça me bloquait. Du coup, je suis entrée à Dupré le 16 décembre 2016. J'ai eu droit à des vacances où j'allais a une clinique avec des "activités" qui n'occupaient pas vraiment (bracelet brésiliens, décoration, origami, jeux de société, puzzle..). A Dupré, la moitié de toutes les vacances ne servent qu'aux "médiations" (activités), et beaucoup trop de temps libre. Les médiations en dehors des vacances peuvent être intéressantes, si vous décidez de les faire, et pas qu'on vous les impose. Comme dit dans un autre commentaire, la cantine est super, on demande ce qu'on veut, donc au moins on choisit ce qu'on mange, et ils avaient toujours la pêche et le sourire. Pour l'éducation, durant ma "première" année, j'ai été dans la classe "MARS" avec des cours différents et ils sont rajoutés de plus en plus, ce qui aide si on a été déscolarisé avant. La plupart des profs sont sympa, à l'écoute, ils s'adaptent en fonction du nombre d'élèves, ils aident plus que les soignants. Si Dupré ne comprennait que la partie éducation, ça serait parfait.
Ah oui, on doit avoir 2 psychiatres, un thérapeute et un "référent", à quoi ça sert ? Le thérapeute, à faire une thérapie, bien évidemment, mais le référent ? On le voit une fois par mois, voire une fois tous les 2 mois, et si le dr Balkan juge qu'on a besoin de médicament, il va en parler à notre psychiatre référent pour qu'il nous prescrive des médocs alors que celui qui sait si on en a vraiment besoin est le thérapeute.....
J'ai quitté Dupré quand j'ai réalisé que cela ne m'apportait plus rien de rester, même si y être m'a aidée sur certains points. Il y a trop de négatif, et encore une fois, c'était quelques médiations intéressantes, les profs et la cantine qui m'ont aidée.
J'ai dû faire une lettre de "démotivation" pour dire pourquoi je voulais quitter Dupré.

-L’effet prison où on doit rendre des comptes tout le temps.
-Le fait qu’il n’y ait pas la prise en charge personnalisée des élèves alors que le Relais en avait fait l'éloge (un "plus" de ce genre d'établissement "soins-études").
-Si on ne rentre pas dans une case (pour savoir comment interagir avec l'élève), on est mis d'office dans une préexistante.
-L’utilisation constante de solutions de facilité (ex. : du mal à dormir ? solution : médocs ou retirer les cours du matin, alors que la plus grande partie de mes cours ont lieu le matin).
-Le fait de devoir faire le "pigeon voyageur" entre les études et l’hdj (=hôpital de jour)
-Tout le monde fume, élèves, soignants, profs (à quelques exceptions).
-Le fait de forcer tout le monde à être sociable (notion de “normalité”).
-Questionnement incessant et à chaque réunion : demande de l'avis de l'élève et des parents sur la réunion précédente ("Qu'avez-vous pensé de la dernière réunion ?").
-Les temps informels pour nous “apprendre à savoir s'occuper”.
-Élèves qui souhaitent une activité et qu'on refuse faute de place, alors que d'autres qui ne veulent pas faire une activité, sont inscrits d'office. Et une grande difficulté à commencer ou arrêter une activité.
-Lenteur administrative et informations pratiques qu'on doit découvrir par soi-même (souvent suite à des choses qu'on nous signale qu'on n'a pas le droit de faire).

Désolée de la longueur de l'avis, mais il y a tellement à dire que je ne peux pas tout mettre
Fantin pomeau (fantino92)
Fantin pomeau (fantino92)2 il y a des années
Heureusement qu'il y a la partie étude sinon ça ne tiens pas debout. Les médiations sont bien mais avec un faible intérêt médical.
J'ai clairement été plus aidé par l'équipe éducative d'un point de vue santé, que les professionnels psy pour la plupart mauvais. Heureusement que j'étais à L'HDJ et que j'ai pu passer le bac en 1 an. Autre chose, le conflit permanent entre les équipes soignantes et éducatives, les premiers sûrement vexé de la plus grande efficacité de la dernière et qui met toujours des barrières pour ajouter des cours à l'EDT
Anais DUCAMPS
Anais DUCAMPS2 il y a des années
J'ai été hospitalisée dans deux services différents de Dupré entre début 2016 et fin 2018. Que dire ... Sans cette aide je ne sais pas ce que je serais devenue. Arrivée dans un état déplorable, l'équipe soignante a été d'un soutien sans failles pour ma famille et moi. Alors oui, on y prescrit parfois un traitement médicamenteux lourd mais pour ma part, j'estime que c'était indispensable pour m'aider. Il y a des médiations, des cours si notre état le permet et des entretiens médicaux réguliers. On peut y discuter avec les soignants si besoin à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Seul bémol : les fins d'hospitalisations devraient être davantages travaillées avec les patients. J'ai construit mon projet seule alors qu'on nous promet de nous aider à établir un projet de sortie solide. Dommage car hormis ça ma prise en charge là-bas m'a sauvée !
Marie
Marie2 il y a des années
Je remercie infiniment la clinique Dupré pour l 'aide apporté à ma fille 🙏🙏🙏, le docteur Pinel et son équipe( la secrétaire Sana, un ange) ont su mettre des mots sur ses maux pour la soigner !!!! Un traitement adapté, un accompagnement et un soutien sans faille.
Flora Renji
Flora Renji2 il y a des années
Les 2 étoiles vont pour ceux qui organisent le self, ils mettent de la bonne humeur dans nos journées avec leur sourire 😊 (et j'ai vu qu'il n'y a pas de commentaire sur eux et c'est bien dommage, ils méritent vraiment d'être remarquer)
Les ash sont génial (des bisous à elles au passage)! On s'amusent bien ensemble et quand il y a quelque chose qui ne va pas elles le disent en réunions soignants/soignées. (petite note: évitez de parler des gens qui font caca dans les poubelles ça met certaines personne asser mal. Je dis ça parce qu'après cette fameuse réunion beaucoup de gens n'étaient pas dans leur assiettes). D'ailleurs, svp les gens, quand vous coulez votre bronze dans les toilettes le soir, appuyez sur le bouton pour tiré la chasse svp, parce que j'ai reçu une vidéo thug life d'un ami qui a découvert un monument en allant au toilette et à filmer ça... Je sais pas si je doit en pleurer ou le féliciter...

BREF

Étant à Bellechasse 1, je suis resté 2 ans. J'ai dit aux médecins que j'avais une phobie social et une agoraphobie. Niveau phobie social, bon d'accord ça avancer dans la guérison, mais agoraphobie ils vous observent les bras croisés en espérant que vous seul allez dehors. Haha, quand on a peur on évite le plus qu'on peut (normalement) donc jamais vous ne travaillerez sur vos peur de dehors. Après avec le stress en plus évidement que je ne mangeais plus à ma faim. J'ai dû me faire hospitalisé ailleurs, et non pas parce que je mange pas, mais parce que je ne savais pas réfléchir alors que c'était un de mes profs qui expliquait mal les cours (je dis pas de bêtises parce que j'étais pas là seul à vouloir changer de prof). En parlant de prof, ils sont tous à notre écoute, ils sont vraiment sympa, merci à vous de m'avoir accompagné.
Mais là où j'étais le plus choqué (moi et les médecins extérieurs de la clinique de Dupré d'ailleurs) c'est l'organisation. Plus haut j'ai parler que je me suis fait hospitalisé ailleurs, on m'a dit "ne vous inquiétez pas on vous garde une chambre au retour"... Je suis sorti de l'hospitalisation en question, je retourne à Dupré et on me dit "ah bah Y'a pas de lit pour vous"... Après, entre temps y a eu un changement de médecin dans le service B1 et celle là me raconte "tout se que vous avez fait est un échec" ma mère et moi on était stupéfait par ces mots qui vient d'une psychiatre de l'établissement ! De plus elle n'avais pas étudier mon dossier, et ne savais rien sur moi. J'étais même contente de revenir là-bas pour revoir mes anciens amis... De plus en disant que j'ai la ostéoporose, un soignant à ris devant moi (qui était mon soignant référent je précise). Vraiment...
Forcément oui je voulais plus revenir là-bas. J'ai mieux avancer ailleurs en 7 semaines seulement que a Dupré en 2 ans.
Bon Y'a pas que du négatif hein, j'ai rencontré des patients adorable les uns que les autres, on était tous amis dans le service et ça c'était beau à voir ! Au self on était souvent tous ensemble dans la table du fond.
Les médiations sont bien, rien à dire en plus. L'ergotherapie c'est juste idéal pour découvrir de nouvelles choses comme la peinture sur de la soie, les différentes terres, la mosaïque, la pyrogravure, etc... L'ergotherapeute est vraiment très sympa, elle écoute nos petits soucis de tout les jours et tout le tout sans la bonne humeur. Et si jamais on a besoin de lui parler seul à seul, c'est possible.
Je pense que j'ai fait le tour de se que je pense. En espérant que ce commentaire vous fait réfléchir. Mais personnellement je vous deconseil cette endroit si vous allez à Bellechasse 1. Les autres services je sais pas se que ça vaux.
Allez des bisous ! Et force à vous mes potos de B1 vous êtes des personnes formidable et vous allez tous sans aucune exceptions devenir de grandes personnes (enfin je parle pas de tailles... Là vous me dépassez déjà)
Adam H
Adam H2 il y a des années
entretien d'admission très pénible pour le candidat, et pour mes parents, attitude froide et dédaigneuse des trois personnes chargées de mener cet entretien (en deux temps.. s'est éternisé pour sortir déçus et choqués). Ils n'ont pas voulu de moi, en argumentant par de simples suppositions sur moi.. heureusement j'ai pu reprendre mes études dans un lycée normal, je passe le bac et c'est la preuve qu'ils ont sous évalué mes capacités à me relever, ou alors ils avaient atteint leur quota et ils ont été malhonnêtes avec moi. Cette façon de recaler une personne malade sans explication valable peut être dramatique je pense. Je mets une étoile pour pouvoir publier seulement, et j'espère que d'autres personnes ont eu la chance d'être mieux considéré que moi et que cet établissement leur a été utile.
Regret
Regret2 il y a des années
J'ai passé 1 an à la clinique Dupré. J'ai rencontré des gens qui sont devenus des amis. Je vais faire simple. La clinique Dupré est dangereuse. Si votre enfant est en réel souffrance, je ne peux vous conseiller cette clinique. Si vous ne me croyez pas, informez vous sur la prise de Tercian 100mg/3 fois par jour, la maltraitance des psychiatres, le soin remplacé par de l'ameublement. Vous pourrez peut être me dire que je suis un cas isolé ? Dans ce cas je peux vous dire que les gens que j'ai pu connaître et avec lesquels je suis toujours en lien on vécu majoritairement la même chose.

Ce que je peux vous conseiller par contre c'est d'atteindre un cap de stabilisation avant de vouloir se lancer dans la reprise des études.
Les hôpitaux psychiatriques sont un excellent moyen, renseignez vous avant évidement et surtout : nous ne sommes plus dans les années 60 donc il y a différente structure suivant la pathologie, parfois ça fait peur mais très vite on s'y fait et c'est déjà un premier pas vers une amélioration.
Ensuite, si vous le désirez, visez Dupré mais n'espérez pas la lune.
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